Même si je n’ai décidemment pas de temps pour alimenter ces pages - surtout du fait de ma monodigitalité lorsque je suis face à un clavier et de mon incapacité à écrire un vrai billet en cinq minutes -, je parviens toujours à dégager quelques précieuses minutes dans la semaine pour parcourir les blogs que j’aime
(Concernant ce point, je suis bien désolé de n'être capable que d'une moyenne de commentaire avoisinant le « 1 » hebdomadaire (et encore, pff ..) et j’adresse une énième fois mes excuses les plus plates à ces fabuleuses individualités listées
ici, et
là aussi (et que toi lecteur de passage, sournoisement fourvoyé par un google parfois surréaliste dans les choix proposé à tes recherches , tu peux généralement retrouver dans les liens sur la droite).
Mais bref (c’te bonne blague !).
Toujours est-il que, pas plus tard que tout à l’heure, alors qu’incidemment le blogage commence sérieusement à me manquer et que je me demandais quel sujet pourrait bien avoir l’honneur d’être traité après un aussi long délaissement de la blogosphère, v’la-t-y pas que je tombe sur un petit article qui m’a fait tout drôle.