Là, de suite, je suis assez embêté : j’essaie de me lancer dans un billet retraçant un évènement important pour moi, mais comme j’ai tendance à le sacraliser (l’évènement, pas le billet), je tergiverse, je tourne autour du pot, je reprends 20 fois la première phrase, je perds mon temps à réfléchir au titre absolu, et même là, alors que je pensais être parvenu à contourner la crainte d’abimer le souvenir en l’affublant de ma prose débile (et pour ça je méta-communique avec moi-même, t’as vu ça), je continue à m’angoisser sur les lignes censées suivre alors que – berdol ! – cet évènement ne m’apporte en lui-même que du positif et que je ne suis que dans l’attente d’une suite.
Ne nous cachons pas derrière notre petit doigt : cet évènement, c’est le #Khaos13th. Et ce pourquoi je souhaite écrire sur le sujet si tôt [EDIT du 06/08/18 : enfin, ça fait plus d’une semaine que j’y suis, c’est de moins en moins tôt, du coup], c’est tout à la fois parce que je cherche à le faire durer (tout plein, tout plein), mais aussi parce que ce sera un mémo plus fidèle que mes souvenirs, dans quelques temps. Ce qui me bloque (comme pour le billet sur le #Khaos11th qui n’a jamais vu le jour et qui gît à l’état de brouillon particulièrement inachevé dans mes PC), c’est que je voudrais faire éprouver à mon moi futur (et aussi aux lecteurs de passage (*le gars qui soigne une éventuelle audience … je me vois et je me juge*)) l’intensité de l’émotion que me procurent cet IRL et les personnes qui le composent tout en me gardant (et je sais que j’échoue déjà) de tomber dans une grandiloquence tendant à me faire passer pour un illuminé et, au bout du compte, proposant un baragouinage particulièrement contreproductif (ah oui, je me confirme, j’échoue, du coup …).
Alors, ben allons-y (parce que ça va bien, hein, je suis censé être grand et mature (ahahah !) et être capable de contrôler tout ça (re-ahahah)).
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