And Nothing Else Matters... - Mes aventures merveilleuses au pays du marteau magique2023-03-22T06:22:58+01:00KannTourn:md5:9ab9ae7606541fc0549d738f48a38480DotclearCoeur vaillant ?urn:md5:1bcab9f7aac02eeb0b7a023911c8d40a2006-09-03T22:41:22+00:002006-09-03T22:43:00+00:00KannToMes aventures merveilleuses au pays du marteau magiqueAh y est ... je l'ai fait ... dans les temps, en plus ... <br />
Le mantra d'Eguemarine est vraiment efficace <img src="https://kannto.chaosklub.com/index.php/?pf=smile.svg" alt=":-)" class="smiley" /> ... <br />
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Oui, donc, voilà, ça a été fait, dans les temps, et tout et tout ... mais ça a été juste ...<br />
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Petit laïus sur la peinture ...<br /><br />
A mon grand étonnement, moi qui croyait dur comme fer qu'il n'y avait rien de pire que l'enduit, j'ai forcemment trouvé mieux dans le registre des étapes de la rénovation murale qui sont chiantes, usantes, douloureuses et qui inspirent l'envie de vérifier si le contrat d'assurance couvre correctement la malencontreuse (malencontreuse avec des bidons d'essences, des allumettes et des allumes-barbecue, pour être sûr) incinération de votre habitation.<br />
Je suis aujourd'hui convaincu que lorsqu'on se réincarne en peintre en batiment, on a fait de très très grosses conneries dans une vie antérieure. C'est pas possible, une telle punition !<br /><br />
Enfin, je m'explique : ce n'est pas la peinture en tant que telle qui est à blamer, mais la nécessité de la poser (avec soin, si possible) sur un plafond.<br />
Le plafond en question fait entre quarante et cinquante mètres carrés et j'y ai passé environ six heures.<br />
Six heures sur un escabeau, qu'il fallait déplacer tout les cinquante centimètres carrés (parce qu'à mon grand désespoir, j'ai un bras qui a une taille normale), six heures à flipper sur les raccords (est-ce que ça va s'estomper ???), six heures à effectuer une dichotomie savante du temps restant estimé selon un rapport lui aussi savant, mais systématiquement faux et inutile, entre la surface restante et le temps moyen passé sur mes cinquante centimètre carrés (histoire que cette torture passe plus vite)(vous ne faites jamais ça, vous ?), et, pire que tout, quatre heures (parce que, les deux premières, ça allait encore) à souffrir le matyre (le mot est faible) au niveau des muscles (encore eux, les salauds !) de l'épaule droite qui n'en pouvaient plus de porter le rouleau et de l'appuyer au plafond (oh oui, surtout de l'appuyer ...) (parce qu'à mon grand désespoir, j'ai aussi une endurance musculaire normale).<br />
Jouons un peu à <em>"faisons-nous une idée de ce que KannTo a ressenti lors de cette épreuve existentielle"</em>.<br />
Si ça vous intéresse, bien sûr.<br /><br />
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<li>Munissez-vous de deux bouteilles d'eau minérale, pleines, bien entendu.<br /></li>
<li>Saisissez-les chacune dans une main.<br /></li>
<li>Placez vos bras le long du corps.<br /></li>
<li>Relevez vos bras, tendus, jusqu'au dessus de l'épaule.<br /></li>
<li>Redescendez-les.<br /></li>
<li>Faites ce mouvement une trentaine de fois, sans aller trop vite.</li>
</ul><br />
Si vous êtes normalement constitué, vous ressentez une brûlure dans les muscles des épaules, brûlure qui vous pousse à arrêter le mouvement.<br />
Voilà, vous avez ressenti ma souffrance. Seulement, quand vous arrêtez, la brûlure disparait.<br />
Ben moi, même quand je ne bougeais plus, même quand je cherchais désespéremment mon sommeil sur mon lit de souffrance, la brûlure était là (c'était un peu mon Oeil à moi, hein, Caïn <img src="https://kannto.chaosklub.com/index.php/?pf=smile.svg" alt=":-)" class="smiley" /> ).<br />
Dingue, non ?<br />
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Enfin bon, j'ai finalement vu se pointer, sans se presser, d'une démarche nonchalante, mon dernier foutu rectangle de cinquante saloperies de centimètres carrés, et <em>j'y ai peint sa race</em> (comme disent les jeunes, maintenant).<br />
Ceci dit, j'avais mis beaucoup plus de temps que prévu à faire ce plafond, et il me restait les murs. Mais bon, si ce n'est le temps qui pressait, ça a été de la rigolade, les murs.<br />
Petit conseil en passant, à ceux qui envisagent de repeindre une pièce en blanc (mais vraiment blanc, hein), avec une peinture premier prix dont le pouvoir couvrant peut se comparer à celui du cache-sexe des danseuses du Crazy Horse : ne tirez pas la peinture. <br />
Non, non.<br />
Si vous tirez la peinture, vous ne saurez pas où vous êtes passé tellement elle est transparente.<br />
Faites donc au contraire des couches bien grasses, genre, une bonne trempouille dans le bac avant <strong><ins>chaque</ins></strong> passage de rouleau, y compris en croisant, avant de "lisser" au rouleau non trempouillé le mètre carré que vous viendrez de réaliser.<br />
Contre toute attente, le résultat est excellent. (et j'en suis fort aise).<br />
Mais trêve de bla-bla, trêve de bla-bla ... (ah ben non, trop tard)<br />
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Il a bien sûr fallu nettoyer après cette dernière étape, et ce dans toute la maison ... donc de 14H00 le vendredi, jusque 3H00 du matin, le lendemain. Plus les détails le samedi matin (levé huit heures, bêêê ...).<br />
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<strong>MAIS J'AI REUSSI !!!!!!</strong><br />
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P'tit Coeur avait une super-belle maison pour sa fête d'anniversaire. Pis des parents bien nazes, pour changer (et si t'es naze, arrête !!!)(ah ah).<br />
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Voilà, donc, pourquoi le mantra d'Eguemarine marche vraiment : A coeur vaillant, rien d'impossible ...<br />
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Bon, maintenant, je vais laisser passer un peu de temps avant d'attaquer la suite, histoire de perdre mes beaux muscles tout neufs qui vont bien d'ici là <img src="https://kannto.chaosklub.com/index.php/?pf=laugh.svg" alt=":-D" class="smiley" /> .Le ponçage m'irrite ...urn:md5:8a06253cd460b19e5a1cd4fc992030ef2006-08-24T02:57:25+00:002006-08-24T02:57:25+00:00KannToMes aventures merveilleuses au pays du marteau magique(il fait rien qu'à m'énerver) <br />
Suite de mes aventures passionnantes dans l'apprentissage sur le tas de la rénovation des murs.<br />
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Lors du dernier épisode, je vous ais tenu en haleine avec la pose de l'enduit ... aujourd'hui, tenez-vous bien, il m'a fallu le poncer.<br />
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En effet, il s'avère que quelque soit la délicatesse et le soin que vous apportez à la pose de l'enduit, votre couteau/spatule/lisseuse tient à laisser une trace de son passage (prétentieuse, va ...), et ce, en relief. Si vous essayez de l'enlever de suite, alors que l'enduit n'est pas sec, vous retirez essentiellement ce qui est autour de la trace, à savoir, le travail à peu près potable.<br />
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Il vous faut donc attendre la déshydratation de la chose, avant de vous avancer, l'air de rien, vers le défaut et de lui sauter sur le poil soudainement, armé de tout outil de ponçage adéquat (mon arme ultime est une cale de ponçage équipée d'un grain 80)(je déconseille le grain 50 ... après, vous êtes obligé de tout retirer et de tout refaire).<br />
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Ah oui, j'allais oublier : il vous faut aussi des muscles dans les bras, dans le dos, et en fin de journée, dans les jambes, car les bras ne parviennent plus à réaliser les mouvements de translation.<br />
Comme généralement quand je bricole, j'ai été vite rassuré sur l'excellence de mes parents qui, lorsqu'ils m'ont conçu, ont pensé à me doter de tous les trucs qui vont bien, y compris des muscles que je ne savais même pas posséder jusqu'à ce qu'ils se signalent à mon attention en envoyant d'impérieux message à mon système nerveux, m'amenant à tenir un monologue qui, s'il fut entendu par d'inopinés passants (et je ne parle pas de passants eunuques) passant (ben oui, c'est normal) sous mon "was ist das" (oui, le terme est allemand), ne put que leur apporter une vision plus joyeuse de la vie vu la portée philosophique des propos que je tenais alors : <em>"aïlle ...","bordel ...","fait iéch", "putain, j'en ai marre ...", "aïlle ..."</em> ... et j'en passe.<br />
En fait, c'est dans ce genre de situation que l'on regrette qu'une pièce d'habitation soit essentiellement définie par l'existence de quatre murs : aujourd'hui, je me serais contenté d'un seul ... <br />
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Je suis toutefois parvenu à vaincre bravement ces méchantsvilainpasbô reliefs, non sans perdre, il est vrai, dans la bataille, une bonne dizaine de litres d'eau diligemment écacués par toutes mes glandes sudoripares (j'ai d'ailleurs appris aujourd'hui que j'en avais (des glandes sudoripares) sur les rotules ... et vous ?) et une partie de ma dignité vu le kilo de poussière blanche affectueusement collée à mon corps d'athlète grâce à la sus-évoquée sécrétion glandulaire.<br />
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Après avoir utilisé le reste de ma dignité à fêter cette victoire en m'effondrant sur le sol le plus proche, j'ai contemplé d'un oeil humide mon travail. <br />
Oui, mon oeil était humide, parce que s'il n'y avait plus de méchantsvilainpasbô reliefs sur mes murs, leur absence mettait bien en évidence toutes les petites dépressions aguicheuses qui se faisaient un plaisir d'accrocher la lumière qui n'a vraiment que ça à foutre de venir se balader dans ma salle à manger en plein jour, rien que pour m'énerver.<br />
On a beau savoir que c'est normal, ça agace.<br />
Mais bon, ça va, je n'ai pas pleurer longtemps. A peine une demi-heure.<br />
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Je vous passe le rangement de la pièce (et à moi aussi, par la même occasion), c'était facile et reposant, à part les quatre bidons de soixante litres et ma poulaide noire de cent litres qui me servent à stocker les gravats. Je vous mentirai si je vous disais qu'ils étaient pleins de platre et de brique à ras-bord. Non, juste au deux-tiers.<br />
Bref.<br />
Après avoir aspiré murs et plafond, j'ai donc passé le reste de ma soirée un couteau à la main à traquer les dépressions abhorrées, et à les remplir impitoyablement d'enduit frais, histoire de leur apprendre à vivre.<br />
C'est minutieux, long, mais au bout du compte, pas désagréable, sauf quand une petite surface d'enduit sec fait le malin en se décidant à vivre sa vie ailleurs que sur le mur et en laissant dans celui-ci un trou ...<br />
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Donc, voilà, c'est fini.<br />
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Et ben, ça a plutôt de la gueule. Je ne suis pas homme (attendez, il y a une suite à cette phrase !) à me jeter des fleurs, mais là, ben, quand même, quoi. <br />
Ca a plutôt de la gueule.<br />
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OK, donc, demain, j'attaque la peinture. Murs, plafond, moulure. <br />
Entre nous, c'est pas gagné. Les derniers plafonds dont je me suis occupé ont engagé des poursuites contre moi. <br />
Je crois même que le premier à mis un contrat sur ma tête (en même temps, je l'avais mérité, hé ...).<br />
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Aller, dernière ligne droite. Je suis presque dans les délais que je me suis fixés. C'est un pas-trop-de-retard qui devrait se rattraper facilement. <br />
Et P'tit coeur aura sa belle maison pour son anniversaire.l'enduit ennuie ..urn:md5:2593a0228e960da17cec74dd8f82447e2006-08-22T16:45:43+00:002006-08-22T16:45:43+00:00KannToMes aventures merveilleuses au pays du marteau magique... et tarit l'immagination quant aux titres des billets ... <br />
Je suis entrain de faire de l'enduit.<br />
Euh, non, en fait, là je suis devant mon ordinateur. <br />
Mais c'est ce que je faisais avant d'être devant mon ordinateur, et c'est ce que je ferai en le quittant.<br />
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C'est très ennuyant de mettre de l'enduit sur ses murs. On sait que c'est nécessaire, que le rendu, à la fin (Ah, la fin ...), sera de meilleur qualité, mais, il n'empêche, l'enduit, ça saoûle.<br />
En fait, ce qui ennuie, dans l'enduit, c'est que si une fois qu'on a passé le couteau, la spatule ou la lisseuse, c'était suffisant, ben, ça irait ; mais c'est jamais le cas ... Il faut toujours qu'une toute petite surface se décolle pour embêter le monde (et le monde, c'est moi), et oblige à repasser le couteau, la spatule, la lisseuse une nouvelle fois, au risque (souvent avec la certitude, plutôt) de décoller une autre petite surface, voire, de provoquer un drame en faisant une grosse trace toute moche qui oblige à tout refaire.<br />
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Et puis, ça donne des ampoules ...<br />
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Bon, soyons honnête, l'enduit, c'est chiant, mais en fait, c'est joyeux, comme tout ce qu'on peut faire pour améliorer son environnement.<br />
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Ce qui me stresse, c'est que je doit finir les murs de la pièce principale de notre petit nid d'amour pour, maximum, vendredi midi, et dans l'idéal, pour jeudi soir. Or, je dois donc finir d'enduire ces murs aujourd'hui (gasp !), nettoyer à fond la pièce demain, peindre le plafond nickel (quelqu'un aurait-il à disposition des cours de peintre à assimiler en une nuit ?), peindre les murs nickel, nettoyer la pièce à fond, replacer les meubles, nettoyer la vaisselles des dits meubles, la ranger, pour pouvoir me consacrer vendredi à un ménage dans les règles de l'ensemble de la maison.<br />
Donc, ce qui m'ennuie, c'est l'échéance. <br />
Alors, pourquoi une échéance qu'on pourrait qualifier d'Herculèenne ? Parce que les gremlins sont stockés chez les grands-parents pour l'occasion, et que, surtout, j'ai promis à P'tit Coeur une maison super belle pour samedi, quand ils reviendront et que nous fêterons son anniversaire (cinq ans (bordel)). Donc, j'ai pas le choix, je dois me tenir à ma promesse, mais, juste, ça parait impossible ... mais je vais le faire quand même.<br />
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Bon, ben je crois que je viens de battre le record du billet le plus inintéressant sur ce blog.<br />
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... bon, aller, j'y retourne ...Armoire 1 - KannTo 0urn:md5:757308517f9edd2fd5536c952e2529f02006-06-09T16:06:55+00:002006-06-09T22:30:55+00:00KannToMes aventures merveilleuses au pays du marteau magiquePendant que Cissé fait le malin avec sa double fracture jambesque (non, je vous jure que je n'aime pas le foot, mais j'ai renoncé à me crever les tympans pour l'éviter )(et merci à <strong><a href="http://www.7h48.com/">7h48</a></strong> pour la photo du malin en question sur le mini-chat ce matin, j'ai bien vomi mon p'tit déj <img src="https://kannto.chaosklub.com/index.php/?pf=smile.svg" alt=":-)" class="smiley" /> ), donc, pendant que Môssieur s'amuse à se casser les abattis, moi, j'ai vraiment mal ... <br />
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Ceux qui auront lu le mini-chat hier auront pu constater à quel point j'ai eu du mal à quitter le net pour faire quelque chose de ma journée.<br />
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En l'occurence, travaux de rénovation oblige, j'avais un objectif super-enthousiasmant : faire des tranchées dans mes murs (qui ne m'ont pourtant rien fait) afin d'y placer des gaines électriques ayant pour fonction d'alimenter divers point lumineux et fontaines à électrons, et, accessoirement, de constituer un réseaux electrique sain qui ne risque pas de transforner ma demeure en brasier, à l'inverse de ce que ces salopards de précédents propriétaires avaient placé dans les murs : sans déconner, même moi, je ne mettrai pas des fils scotchés, ou même avec un domino, dans un mur et encore moins posés sur du polystirène ... Enfin bref, il faudra que je fasse un billet sur tout ce que j'ai découvert dans <em>ce joli nid d'amour</em>.<br />
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Revenons à mes tranchées : il me fallait, pour atteindre, ma première victime, déplacer l'armoire (deux mètres cinquante de large, sur deux mètres de haut) qui se trouvait devant. <br />
Donc, bien sûr, j'ai commencé par ne pas vider l'armoire en question .<br />
Je l'ai tirée, poussée, je me suis arc-bouté dessus, elle a bougé, j'ai commencé à vaincre.<br />
Et puis, j'ai voulu faire comme dans les films, j'ai voulu pousser avec mon épaule. Mon épaule gauche. Et là, l'armoire a gagné.<br />
J'ai clairement senti que quelque chose cédait. Quoi, exactement, je n'en sait rien. En tout cas, pas l'os, c'est déjà ça.<br />
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Alors, après, j'ai eu mal. Très mal.<br />
Impossible de lever mon bras, de porter plus lourd qu'un stylo ... mais faut pas déconner, j'avais pas laché internet pour des prunes (et déplacé cette armoire pour rien). Donc, j'ai fait mes tranchées, avec ma joli perceuse à percussion qui va bien (rhôô, évitez les commentaires désobligeants, il y a une position burin sur mon outil de la mort qui tue).<br />
Oui, mais elle est lourde, ma perceuse, surtout quand on la porte d'un bras, en tressautant dans tous les sens et en grimaçant de douleur ... Donc, j'ai fait mes tranchées, mais maintenant, j'ai encore plus mal. <br />
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Voilà, c'était vraiment pas intéressant, mais je tenais à crier à la face du monde que JE NE SUIS PAS BRICOLEUR !!! Je me fais mal à chaque fois, et c'est injuste (d'où l'extrait du jour <img src="https://kannto.chaosklub.com/index.php/?pf=smile.svg" alt=":-)" class="smiley" /> ). Et puis je l'aimais bien, moi, mon épaule gauche. J'y suis attaché (et accessoirement, mon bras gauche l'est aussi).<br /><br />
Maintenant, j'espère que Cissé a honte d'avoir fait autant de cinéma sur la pelouse : moi, je sais ce que c'est souffrir.