Petits bouts d'une vie

Et d'abord, j'étale ma vie si je veux !

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lundi, novembre 7 2016

“Mise à jour x/?”, argument...

Bien que je n’ai pas écrit depuis, fiou !, au moins tout ça (en vrai, on peut parler d’un arrêt de production aux alentours de 2011, avec un vrai dernier billet en 2013)(hum, ahem -_-”), ma petite vie de terrien moyen et névrosé ne s’est pas arrêtée pour autant et a été émaillée de petites et moins petites choses, d’évènements plus ou moins importants (pour moi, pas pour la survie de la planète, restons modeste) et d’états d’âmes sans doute globalement inintéressants mais qui ont contribué à faire évoluer qui et ce que je suis, et ce, pas toujours dans le bon sens (du moins, pas dans le sens que je voudrais). (tiens, une intro courte).

(P.S. de chapô : au moment où j’insère ce P.S., j’en suis au ⅔ de ce billet (oui, là, tout de suite maintenant, quand vous me lisez, je viens du futur. Bon, du futur de mon passé, mais, du futur quand même, en tout cas pour votre présent (‘tain, c’est toujours compliqué les voyages temporels) et je m’excuse par avance de la philosophie de comptoir que je vais vous infliger)

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mardi, décembre 24 2013

Fait chier ...

40 ans. Putain, 40 (quarante !) ans.

OK, c’est bon. 40 ans, et puis ?

En fait, je ne sais pas. Je viens de passer par une période très noire (peut-être y suis-je encore), telle que celle que j’ai pu vivre il y a dix ans (tiens ?).

En soit, c’est assez flippant.
Ce par quoi je suis passé il y a dix ans a provoqué un raz-de-marée de merde dont les derniers clapotis empuantissent encore mon quotidien (et de toutes façons, les eaux n’ont pas fini de se retirer).

En même temps, l’année qui vient de passer m’a vu me convaincre que je ne vivrai plus très longtemps (la maladie emportant les suffrages parmi les candidats). Entre le sentiment qu’il s’agissait d’un pressentiment et un mécanisme de fuite, mon cœur balance sur ce qui m’a amené à me saouler d’une telle « morbidité ».

Nan, en fait, je sais que c’est un mécanisme de fuite, puisque je sais d’où il vient : je ne supporte pas l’écart entre la perception que j’ai de moi (je suis toujours ado dans ma tête) et la réalité de mon âge vénérable, des avanies du temps et de la perception des autres.
Toutefois, contre toute (chacune de mes) attente, je les atteints aujourd’hui, ces dizaines maudites.
Et du coup, m’étant convaincu que ça n’arriverait pas, je me retrouve donc aujourd’hui à ne pas trop savoir ce que peuvent être les prochaines années.

Et donc, ces dix ans.
40 ans, et ¼ de ma vie qui n’aura servi à rien. Qui aura été marqué par l’horreur qu’est devenue ma vie de couple et qu’il faut continuer à réparer. Qui représente les dix premières années de mes enfants qui auront eu cette réalité pour grandir …

Wohh … c’est dur d’être fluide dans cette rédaction. Ecrire cette détestable réalité, c’est compliqué.

En théorie, il faut répondre à ce genre de contexte en mettant au point une réponse qui permette de ne plus se focaliser sur l’horreur ressentie.
Ca donne envie de faire une liste de bonne résolutions, mais j’ai le sentiment que ce ne serait pas suffisant.

Je pense qu’il va me falloir positiver cet anniversaire. Je vais donc me faire un cadeau : je vais m’offrir la suite de ma vie.

Il y aura donc un paquet « je ne fume plus », un paquet « j’arrête de bouffer comme un porc », un paquet « je fais du sport », un paquet « ma procrastination stoppe aujourd’hui » et une petite carte pour accompagner le tout.

Ce sera écrit "Profite".

mardi, octobre 1 2013

Or fade in ?


C’est marrant, ce sentiment de ne plus avoir rien à dire. C’est un peu flippant, bien sûr, mais comme c’est un sentiment qui s’accompagne d’une sorte de détachement et d’une perception brumeuse du quotidien, ça reste gérable.

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samedi, décembre 5 2009

Rewind

Si l'on considère qu'un blog est un journal intime publique, il n'en reste pas moins que c'est avant tout un journal intime, et à ce titre, qu'on y écrit quand on en a envie (qu'on en ressent le besoin ?), définition qui permet à l'auteur de ces présentes pages plus ou moins abandonnées, et c'est le moins qu'on puisse dire (x2), de se dédouaner et de s'auto-absoudre de l'abandon sus-évoqué d'une manière qui ferait pâlir de jalousie ceux et celles qui pratiquent, sous couvert de religion, cette hypocrite malhonnêteté intellectuelle en usant de l'oreille, non moins hypocrite mais augmentée d'une propension à la manipulation condescendante, d'un représentant du culte, dans le faux secret d'un réduit consacré à la chose, ce qui démontre de manière magistrale qu'on peut être inconséquent et ne pas avoir à prendre ses responsabilités en n'ayant qu'à s'en convaincre, sans avoir pour autant à quitter son douillet logis, se faire absoudre d'un péché originel et se coltiner l'abrutissement de masse de cérémonies moyenâgeuses avant de pouvoir réitérer en toute impunité les mêmes avanies qui pesaient alors sur notre so fabulous conscience (mais où ais-je bien pu mettre mon point ?)(Ah, le voici).

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mercredi, décembre 31 2008

Chaîne à la con, deuxième partie

Re coucou.

Voici donc la suite et fin des conséquences du piège de Zizanie.

Pour toute réclamation, protestation, etc, etc, merci donc de vous adresser à elle :)

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